COUPLE MER
Sofi & Oli
Amour

Tu ne demandes pas “trop”. Tu demandes juste à être rassurée par quelqu’un qui sait aimer.

Par Sofi & Oli
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Sois aimée pour de bon

Tu t’es déjà sentie gênée de poser une question ? De demander une confirmation ? De dire : “j’ai besoin d’être rassurée” ?Alors cet article est pour toi. Parce qu’on t’a sûrement appris à te faire petite, à ne pas trop “en demander”...Mais tu vas voir : ce n’est pas une faiblesse. C’est une boussole.

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Pourquoi tu te sens "trop"

Quand tu as grandi avec l’idée que tes besoins étaient un problème, le simple fait d’en avoir peut te faire honte.
Alors tu attends. Tu prends sur toi.
Mais l’attente épuise, et le silence fait du bruit.
Ce n’est pas ton besoin qui est “trop”. C’est l’absence de réponse en face qui l’amplifie.

Tu as le droit de dire :

  • “Quand tu mets du temps à répondre, ça me rend insécure.”
  • “J’ai besoin de clarté dans ce lien, sinon je m’y perds.”
  • “Je préfère une vérité inconfortable à un flou prolongé.”

Et si la personne en face se braque, fuit ou minimise ?
C’est que ce lien ne te nourrit pas.
Ce n’est pas ton besoin qui est mal placé. C’est la relation qui n’est pas faite pour t’accueillir.

Un amour qui rassure, ça ressemble à quoi ?

  • Il ne te fait pas douter de ta valeur tous les trois jours.
  • Il répond, même quand c’est inconfortable.
  • Il ne se sent pas attaqué quand tu exprimes une émotion.
  • Il te voit. Il t’entend. Et surtout : il t’écoute pour comprendre, pas pour se défendre.

Ce que tu peux faire aujourd’hui :

  • Arrêter de t’excuser d’avoir un cœur sensible.
  • Te rappeler que l’amour ne demande pas de te tordre pour “être facile à aimer”.
  • Observer les réactions en face de toi non pas pour juger, mais pour choisir : est-ce que je me sens en sécurité ici ?

En conclusion :

Tu ne demandes pas trop.
Tu demandes ce que tu mérites :
un lien qui ne te fait pas douter de toi à chaque tournant.
Un espace où tu peux respirer, pas te justifier.

Et si aujourd’hui tu ne l’as pas encore trouvé, rappelle-toi :
ce n’est pas toi qu’il faut corriger. C’est le cadre qu’il faut changer.